
Cherif Hamani Mort – Le chanteur kabyle Chérif Hamani est déprimé. Il a récemment enterré son père. Après une assez longue maladie qui a alité le défunt, il est décédé mercredi dernier. En effet, le père de Chérif Hamani souffrait d’un “AVC” dont il ne s’est jamais complètement remis. Paralysé, il est décédé mercredi et a été enterré jeudi dans sa ville natale de Tagragra, dans la da’a (commune) de Beni Douala.
Chérif et Christina Hamani ne se mettraient jamais dans cette situation, même s’ils étaient de fervents téléspectateurs de l’émission. Celui qui, devant les caméras et un groupe de bénévoles, quitte une maison délabrée et y revient quelques semaines plus tard pour la retrouver entièrement rénovée.
L’épouse a d’abord cru à une arnaque lorsque l’équipe de production de l’émission Tous ensemble de TF1 du samedi soir a appelé. Selon ses propres mots, Christina Hamani confirme : “Je n’y croyais pas, et puis ils ont fait une sacrée enquête, nous demandant beaucoup de documents administratifs, bancaires, etc.”
Les deux hommes ne savaient pas qu’ils seraient tenus à l’écart des 30 projets que la série gère au cours d’une saison jusqu’au moment emblématique où l’animateur vedette, Marc-Emmanuel, est venu frapper à la porte. Environ 700 demandes sont envoyées en production chaque semaine.
“Nous ne sommes pas au chômage”
Chérif et Christina, mariés depuis 17 ans, sont à la fois soulagés et inquiets, mais ils déclarent également avoir de la fièvre. Le père dit : « J’ai une boule au ventre depuis une semaine ». La famille de Gibles a été victime de commentaires désagréables de la part de voisins autour du chantier de construction de leur nouvelle maison. C’est logique, car je me pose la même question. Personne ne devrait nous juger sans information.
Ce n’est pas notre résidence principale pour le moment, mais ce n’est pas parce que nous n’en avons pas les moyens. Christina, une mère au foyer de 39 ans, se plaint de ne pas pouvoir aller à Gibles pour devenir nounou car il n’y a encore qu’une seule chambre et elle n’est pas habitable à cause du handicap de Chérif.
Ils ont acheté la maison des Gibles en 2011 pour 26 500 € (prix net vendeur) avec l’intention de confier les rénovations nécessaires à Chérif, plâtrier-peintre à la retraite. Notre ego en a pris un coup. Nous avons pris notre revanche avec cette maison.
Le menuisier a passé ses dernières années de travail à payer les pénalités qu’il avait accumulées auprès du fisc ; il vend même la maison que lui et sa femme sont en train de restaurer à Vienne et s’installe dans une résidence subventionnée à Villefontaine. Après que le Trésor public l’a indemnisé pour son trop-payé, la famille a continué à travailler sur la maison.
Une annonce aléatoire de pièces Le Bon a fait de Gibles le favori, et peu de temps après, la construction a commencé. Pourtant, en 2012, Chérif, à 71 ans, a nécessité une IRM inattendue. Sa moelle épinière était comprimée à cause des nombreuses hernies et arthroses qui lui avaient été diagnostiquées. Père de trois enfants, âgés de 13, 18 et 25 ans, qui ont dû utiliser des béquilles et un fauteuil roulant après avoir perdu toute sensation dans les jambes.
Et la cellule familiale Tous s’est présentée après avoir été convoquée par leur neveu. Un peu interloqué par la tournure inattendue des événements, le couple annonce fièrement : “Nous n’avons rien fait pour être choisis, nous n’avons rien demandé, nous ne sommes pas assistés sociaux”.
En échange de notre soutien, il nous a offert une musique à la hauteur des grands maîtres du chaâbi. Les complexités de la condition humaine dans la société moderne sont capturées comme par magie dans son dernier album. En particulier, il retrouve un être cher avec qui il avait passé huit ans loin, et tous les trois bénéficient désormais des bénédictions du pardon et de la guérison. Il nous chante entre autres les liens qui devraient exister entre parents et enfants.
Le musicien donne une explication plausible à leur absence : « J’ai fait une pause pour m’éloigner des producteurs. Avant, c’était eux qui devaient servir l’artiste et ses marchandises. Les choses ont changé aujourd’hui, et pour le pire si l’on suit les règles du raisonnement.
Selon lui, « la carrière artistique de Cherif a débuté dans les années 1970. Il a étudié un peu l’andalou et le chaabi, collaboré avec des ensembles en milieu universitaire et publié son premier album en 1979, avant de retourner au conservatoire d’Alger pour en apprendre davantage. L’avant-dernier album s’intitulait “Ousekar Idjekhekem” et était une lettre d’amour à sa femme.
Son album actuel est son douzième. Chérif a fait son premier gala en 1981 au centre culturel de Tizi-Ouzou sous la direction d’Ahmed Agoumi. Hsicène Amchtouh était également musicienne ; son travail a été référencé par un certain nombre d’artistes.
Il part en tournée avec Matoub Lounès en 1980. Chérif Hamani n’était pas seulement un chanteur et musicien ; il a également travaillé au Trésor public. Avant de s’installer en France, il était employé dans un cabinet comptable à Tizi-Ouzou.
En réponse à une question sur les versions de couverture de
Chansons Hammani, dit l’orateur, “mes œuvres sont accessibles aux jeunes à condition qu’ils parviennent à faire mieux, sinon je préfère que le produit reste tel qu’il était plutôt qu’il soit frappé et massacré”. A la fin de l’interview, Chérif Hamani a déclaré : « J’envisage d’entreprendre une tournée cet hiver pour promouvoir mon nouvel album ! »
Les fans et proches de l’artiste kabyle Chérif Hamani, actuellement hospitalisé en France, sont doublement mal lotis.Même s’il est malade, cet auteur et compositeur reconnu se retrouve au milieu d’un débat.
Par respect pour le patient et sa famille, nous ne pouvons reproduire la photo de lui sur son lit d’hôpital publiée en ligne à l’insu ou sans l’autorisation de sa famille. Une décision qui ne manquera pas d’exaspérer de nombreuses personnes.
Une pratique odieuse qui se multiplie malheureusement ces dernières années sur les réseaux sociaux algériens et entraîne de terribles conséquences tant pour les malades que pour leurs proches.Il y a eu une vague d’opposition à l’article et des appels à son retrait. Les proches du chanteur ont évoqué des poursuites judiciaires.
Actuellement malade; nécessitent du calme et du repos. La famille du célèbre musicien kabyle Chérif Hamani a posté sur son Facebook que les visites étaient interdites sur avis de ses médecins.Onde de choc de colère provoquée par la libération d’un lit d’hôpital photo de Chérif Hamani.
La famille de Chérif Rahmani a publié un communiqué à la suite de la diffusion télévisée de la photo du chanteur à l’hôpital, exprimant son choc et condamnant “toutes publications. Des poursuites judiciaires pourront être engagées pour atteinte à la réputation et à la vie privée de l’artiste en cas de publication. Les proches du chanteur ont demandé pardon aux gens et ont déclaré qu’ils l’appréciaient.
La photo du musicien a largement circulé avant d’être fortement dénoncée et ses auteurs ont demandé qu’elle soit retirée d’Internet. Respectez le droit des patients à la confidentialité. Boubekeur Derguini a souhaité sur Facebook un prompt rétablissement de Chérif Hamani. Hamani est un talent de chanteur de mandole et kabyle.
Hacen Ouali, journaliste, plaide pour « le respect scrupuleux de la dignité du patient ».
Avec l’autorisation du chanteur, Berbère Télévision se joint à la famille pour “demander à tous ceux qui ont partagé la photo volée prise dans sa chambre d’hôpital et qui circule.Le CD contient dix titres. Il n’y a aucun signe visible de vieillissement chez l’homme.
L’auteur de “A thala (O fontaine)” ne montre son âge que par le grisonnement de ses cheveux et de sa moustache, qui le trahissent comme ayant plus de vingt ans. Chérif Hamani, quant à lui, est toujours aux aguets grâce à ses gestes vigilants, ses propos faciles et bien rhétoriques, et bien sûr sa moustache qu’il arbore à la manière de Lounis Aît Menguellet ou du mousquetaire du 17e. siècle.
Aujourd’hui, au centre culturel Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou, le musicien a tenu une conférence de presse pour célébrer la sortie de son nouvel album, le 13ème de ses 40 ans de carrière. Par ailleurs, il a évoqué de nombreux aspects de son parcours artistique et de sa vie dans cet entretien avec la presse, notamment ses projets, l’état de la chanson algérienne en général et kabyle en particulier, et son oisiveté artistique personnelle depuis huit ans.
Chérif Hamani a déclaré que ni le manque d’inspiration ni la fuite de sa muse n’étaient à l’origine de son absence du monde de l’art pendant huit ans. Il commence par déclarer : « Je n’ai pas l’habitude de démarcher des producteurs pour leur proposer l’enregistrement et la distribution de mon produit », avant d’expliquer qu’il reste fidèle à sa théorie, qui, selon lui, n’est pas nouvelle mais reste néanmoins vraie. à ce jour : c’est le producteur qui devrait l’approcher.
Le chapitre continue ainsi : “Cependant”, l’orateur déclare : “Je m’abstiens de jeter la pierre aux producteurs car je sais bien qu’eux aussi sont soumis aux nouvelles mœurs du travail qui ne sont pas toujours positives”.
Chérif Hamani utilise le piratage de CD pour illustrer la façon dont le producteur perd de l’argent lorsque ses investissements sont copiés illégalement. C’est-à-dire que la source de votre créativité n’est jamais loin. Mon dernier album est toujours dans le tiroir pour preuve.
Chérif Hamani n’a-t-il pas peur d’être oublié de son public après huit ans et n’a-t-il pas le sentiment de lui avoir été infidèle ? Après avoir énuméré les raisons de mon absence, je ne me sens pas du tout mal à l’idée de trahir mes fans. Je ne risquais pas non plus d’être oublié par mes auditeurs.
Mes chansons des années 80 sont encore jouées lors des mariages et des galas, donc je sais qu’elles sont populaires. Une œuvre artistique bien réalisée, ajoute Chérif Hamani, “est intemporelle et son auteur ne peut être oublié”. demande l’orateur. La question que vous venez de poser était censée recevoir une réponse.
Qu’est-ce que le jambon Chérif L’entreprise lucrative d’Ani en France ?
L’auteur de “yur-k Ayul” affirme qu’il est comptable pour gagner sa vie et que vendre de l’art n’est pas un moyen de subsistance viable en France.L’orateur a souligné qu’il était artiste depuis le début des années 1970 en évoquant les origines de son travail.
L’orateur souligne : “J’ai fréquenté le conservatoire d’Alger durant l’année 1973-1974 où j’ai appris le langage du solfège”, avant de préciser qu’il a débuté sa carrière artistique en tant que musicien. Chérif Hamani raconte : “J’ai fait partie des orchestres de Taleb Rabah, El-Hasnaoui Amechtoh, Lounès Matoub et bien d’autres chanteurs de renom”, ajoutant qu’il a rejoint Lounès Matoub lors de sa première tournée en tant que musicien en 1980.
Son premier disque, affirme l’orateur, est sorti en 1999. Par ailleurs, Chérif Hamani mentionne que son premier concert a eu lieu à la maison culturelle Mouloud Mammeri à Tizi-Ouzou en 198I, et qu’« à l’époque où l’institution était dirigée de Sid-Ahmed Agoumi.”

ncG1vNJzZmirpaWys7%2FTmqmsmpyktG%2By0WiaoZ2inrNutMCmmKehXaK8s8CO